• Je ne sais plus quand, j'étais tombée sur un article au sujet du stockage d'e-mail. Un article paru dans un magazine gratuit de type 20 minutes. Ca aurait même pu être celui-la. Je ne sais plus.

    Quoiqu'il en soit, le sujet m'a alerté. Je possède en tout 5 adresses mails : 3 hotmail, 1 laposte et 1 gmail. Le nombre ne veut rien dire si je n'ajoute pas un point essentiel : J'ai la fâcheuse tendance à ne supprimer aucun mail.

    Je les consulte régulièrement, les lis et les laisse là. Ils s'entassent dans la boîte tout comme mon courrier papier une fois que j'en ai pris connaissance. Sauf que contrairement au papier qui finit par prendre de la place et que je trie, mes emails s'accumulent. Je trouvais ça tout à fait normal et ne songeais en aucun cas au stockage de ces derniers.

    Deux de mes adresses sont très actives. J'en ai pioché une, pour voir. Pas loin de 8 000 emails étaient dessus. Certes un email ça ne pèse pas lourd, mais tout de même ! Prenant mon courage a deux mains et du temps, j'ai divisé par 10 ce chiffre et créé des dossiers pour trier.

    Depuis, j'essaie de prendre l'habitude de supprimer ce que je ne souhaite pas garder. L'information d'une nouvelle vente privée? Je ne retournerai jamais consulter le message. Un nouveau commentaire sur le blog? Je l'ai lu, pas besoin de conserver la notification.

    Mine de rien, je retrouve aussi beaucoup plus facilement un message que je cherche !

    Le tri digital : des mails en pagaille

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  • En début d'année, j'ai fait un grand tri dans mes livres. J'ai sauté le pas, me suis gonflée de motivation et me suis séparé de livres que je ne souhaitais pas conserver.

    Malheureusement, je n'ai pas réussi à tout recaser. Mes livres en VO n'ont notamment pas eu grand succès, que ce soit auprès des particuliers ou de la bibliothèque du village.

    Qu'importe.

    Avec le mauvais temps que j'ai écumé ces dernières semaines, j'ai vagabondé sur Pinterest jusqu'à ce que je me tourne vers des épingles concernant le recyclage de livres. En numéro 1, au summum de la popularité, se trouve le hérisson ! J'ai regardé d'un tout autre oeil les livres restants sur mes bras que je n'avais pas jetés.

    Occupation d'un weekend pluvieux

    Ni une, ni deux, je me suis lancée. C'est bien simple : si j'ai une idée en tête qui a décidé de prendre toute la place, je la mets en route immédiatement. Je n'avais pas encore fini mon repas que j'avais saisi un manga et commencé à plier les pages !

    J'ai opté pour le tutoriel de Rachel sur Mes petits bonheurs. Je suis tombée en adoration face aux oreilles. Un petit détail qui changea tout, rendant le hérisson beaucoup plus mignon !

    Pour l'heure, je n'ai aucun moyen de l’accessoirisé. Il n'a même pas d'yeux ! Une vraie taupe.

    Question de temps seulement. Il aura droit à sa vue dès que possible.

    En attendant, il fait un beau porte cartes ! Très pratique pour le courrier qui est arrivé et qui attend d'être ouvert. Dommage en revanche pour les gros plis. Je n'ai pas encore de gros ouvrages à transformer. Il me faudrait au moins la taille d'une BD. Une prochaine occupation de weekend pluvieux?

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  • Ces derniers jours, j'ai voulu écouler tout le stock d'étoiles à suspendre décopatch que j'avais acheté. Le premier essai décopatch m'a tellement plu que j'ai poursuivi !

    À savoir que jusqu'à présent je n'ai fait que des étoiles à suspendre, des petites comme des grandes. Rien d'autre. Pas de boules, d'animaux, de boîtes... 

    Ceci dit, j'ai passé plusieurs heures dessus et j'ai pu en tirer mes premières leçons :

     

    Les gros modèles sont plus faciles à réaliser que les petits

    J'ai eu une facilité déconcertante à m'occuper de mes dix grosses étoiles. La prise en main est plus facile, je me suis moins mise de colle sur les doigts et j'ai eu l'impression la recouvrir de papier plus rapidement.

    Décopatch : une semaie plus tard

    Je me transforme vite en petit chinois

    Quand on a un projet décoratif, tel que les décorations d'un sapin de Noël dans mon cas, un ou deux objets en décopatch ne suffisent pas. L'activité devient répétitive et redondante. Il ne faut donc pas trop en faire d'un coup ou espacer les sessions.

     

    Gare au support de séchage

    J'ai un buvard vert olive pour travailler. La première fois que j'ai laissé une étoile dessus à sécher, j'ai eu une mauvaise surprise : Etant recouverte de colle, ses points d'appuis se sont accrochés au buvard. Lorsque je les ai séparés, l'étoile avait de légers morceaux de verts de rien du tout. Mais rien du tout m'enquiquine déjà ! Par la suite, j'ai préféré une feuille blanche, puis un plateau en plastique avant d'avoir l'idée lumineuse de les suspendre. Il m'en aura fallu du chemin pour y penser...

     

     Le pot de colle au bouchon collé

    Parfois, même l'évidence m'échappe. J'ai ainsi eu le droit de m'échiner à ouvrir le bouchon de mon pot de colle qui était... resté collé ! Mes bras étant dotée d'une force inouïe, j'ai eu recours à mon ciseau pour faire littéralement sauter le bouchon. Depuis, je fais attention.

    Décopatch : une semaie plus tard

     

    Des yeux de lynx pour voir les trous

    J'ai beau faire le plus attention possible au cours de la manoeuvre, lorsque je jette un oeil à mes créations après séchage, la moitié possède au moins un trou. Rien qu'une tête d'épingle en général, pas de quoi s'offusquer à moins d'avoir un grain de maniaquerie comme moi. Et c'est partie pour une séance de SAV pour combler les trous et avoir des étoiles toute recouvertes de papier.

     


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  • Amatrice du groupe de magasin Cultura, je raffole m'y rendre et ne cesse de m'extasier dans les rayons créatifs. Ma dernière envie en date : le Décopatch.

    Pour mettre tout le monde sur un même pied de compréhension :

    "Décopatch est un fabricant de papiers, colles, supports en papier mâché et accessoires pour la personnalisation, la décoration et les loisirs créatifs. Spécialiste du DIY (Do it Yourself) Décopatch révolutionne la customisation d'objets grâce à son papier ultra fin et résistant aux motifs tendances et variés."

    Jusque-là, je n'étais pas convaincue ou pas suffisamment tentée pour essayer par moi-même. Sur les photos ou vidéos, le rendu est sympa. Même en magasin, leur girafe géante est chouette ! De là à ce que je m'en sorte aussi bien, rien n'est moins sur.

    Attirée par les rayons, je me laissais aller, dégustant des yeux toutes les possibilités qu'offre le Décopatch.

    Décopatch : pas tout à fait du premier coup

    J'ai fini par me laisser tenter. Une envie folle me prit soudainement et les articles nécessaires à l'activité se retrouvèrent sous mon toit. J'ai voulu commencer par quelque chose d'utile, mais surtout de petit, même si ce n'était peut-être pas la meilleur idée. J'ai opté pour des étoiles à suspendre, qui feront office de décorations de Noël, accompagnées d'un papier à motif géométrique denté blanc et argenté. Pas trop de fantasie ici.

    Mes débuts en totale autonomie ne furent pas des plus concluants. J'avais découpé de petites bandes de papier et utilisais autant que nécessaire de la colle. Pas très fière de moi, bien que le résultat soit passable, j'ai regardé une vidéo après 3-4 étoiles afin de savoir si je ne m'y prenais pas comme il le faut.

    La méthode a beau être des plus simple, enfantine et intuitive, de légers changement ont complètement modifié la donne !

    Décopatch : pas tout à fait du premier coup

    D'abord, mes bandes de papiers n'étaient pas adaptés à mes étoiles. J'ai commencé à découper des triangles de toutes sortes, ce qui a l'avantage de préserver le motif. Petit changement de rien du tout qui a pourtant transformé le résultat ! Moins d'épaisseurs, un motif qui ressort davantage, une plus grande rapidité d'exécution grâce aux triangles plus grands...

    Et je ne vous dis pas quand j'ai fait attention avec la colle !

    Je trouve cette colle géniale. Elle est efficace, transparente quand elle sèche, imperméable tout en se retirant aisément si elle se retrouve sur les mains. Le top !

    La seule chose à laquelle il faut faire attention, c'est éviter les accumulations, les petits pâtés ou tas, notamment dans les creux de l'objet qu'on recouvre. Rien qu'avec ça, j'ai eu l'impression que les étoiles suivantes avaient une toute autre allure.

    Décopatch : pas tout à fait du premier coup

    Au final, j'aime le Décopatch. C'est une super activité à faire avec des enfants, simple d'utilisation et sans danger. Les objets décorés ainsi ne sont pas fait pour être scrutés à la loupe. Le rendu est très bien de loin, si on met l'oeil dessus, on se rend compte des différents morceaux de papiers collés.

    C'est fun, facile et on est sûr de ne pas avoir le même résultat que le voisin !

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  • Fut un temps, je passais des heures à jouer sur mon ordinateur. Les MMO faisaient partie de ma vie. MMO veut dire Massively Multiplayer Online repris en français par : Massivement Multijoueur. Aujourd'hui on se contenterait presque de dire simplement "online" pour parler d'un jeu et c'est assez juste.

    Pour donner une idée de ce qu'est un MMO, voici quelques exemples : World of Warcraf (WoW), Guild Wars, Final Fantasy XIV, Warframe, Lineage, DOFUS... Les jeux de ce type sont légion et il y en a pour tous les goûts.

    Pourquoi me suis-je détournée des MMO?

    Comme dans tout jeu, on débute en tant que novice de niveau 1 et il faudra faire des quêtes et tuer des créatures pour gagner de l'expérience et monter de niveau. Certains jeux décideront de laisser de côté ce long périple pour que le niveau maximum soit atteint très vite. De manière générale, la tendance est là : les joueurs ont a coeur d'atteindre le plus vite possible le niveau maximal du jeu afin de se concentrer ensuite sur leur équipement, gros donjons et autres joyeusetés.

    Face à ce constat, il y a moi. J'étais une petite joueuse dont le plus amusant était à mes yeux toute l'aventure que je vivais pour passer de mon état de novice à un état de maître (que j'ai rarement atteint, je l'avoue).

    Avec l'évolution des jeux online comme décrite au-dessus, il s'est avéré que je ne croisais quasiment personne de mon niveau ou dans les quêtes que je faisais. Le but n'est plus de monter joyeusement à deux ou plus nos niveaux. Le seul côté "multijoueur" qui reste, c'est à haut niveau lorsqu'il est obligatoire d'avoir une équipe pour faire face à des boss monstrueux.

    Non pas que l'entraide soit absente lorsqu'on ne peut accomplir une quête de faible niveau. Des gens fabuleux sont prêts à terrasser vos ennemis pour vous. Et ça me dérange. La personne vient, donne trois coups, le monstre meurt et elle repart.

    Pourquoi me suis-je détournée des MMO?

    J'aimais les MMO pour leur côté social, pour le fait d'être entouré de gens et d'échanger avec eux sur un sujet commun : le jeu. Or, aujourd'hui, à devoir monter mon personnage quasiment toute seule dans mon coin, je me suis posée la question : Quel est l'intérêt de jouer à un MMO dans ces conditions?

    Lorsque je joue à un jeu sur une console sans aucun lien Internet, je ne croise personne d'autre que des ordinateurs; C'est normal et je n'en attends pas moins. En revanche, sur un MMO, si je dois jouer seule, je ne vois pas l'intérêt même d'être sur un MMO. Monter au niveau maximum peut me prendre un temps fou car je jouais assez tranquillement sans me presser. Autant dire que ça représente des heures de solitude.

    Alors je me suis tournée vers les consoles, dont je n'ai rien de social à atteindre d'elles. Les jeux y sont tout aussi passionnants.


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